VotW[1]: Kongnamulbap

Je lance une nouvelle chronique hebdomadaire qui ne me prendra que deux secondes à chaque fois: Video of the Week (VotW, que vous pouvez prononcer "vot' double v", comme "votre double v", get it?
(Oui je sais, j'arrive à sortir des trucs complètement débiles des fois. Et je serai médecin un jour. Ça fait peur hein? Dites-vous que chaque médecin dans sa jeunesse a été un gros con au moins une fois. Et l'est peut-être toujours.)

Bref, je posterai chaque semaine une vidéo recette qui m'aura donné envie de faire le plat présenté. Commençons avec:

J'ai déjà parlé de Maangchi. Ses vidéos font de plus en plus "pro" mais malheureusement--et ça se voit--elles donnent l'impression d'être scriptées :( J'aimais beaucoup chez elle le fait qu'elle cuisine un peu à l'improviste, qu'elle coupe tout devant vous (bon, ça, elle le fait toujours) avec très peu de montage vidéo, comme si vous la surpreniez en train de cuisiner normalement. Dans cette vidéo, ça fait vraiment comme si elle avait répété son texte, ça m'a un peu agacé. Mais bon, c'est pas grave, j'aime toujours autant ses recettes. Et celle-ci, je la ferai très bientôt, j'n'ai pas mangé de bibimbap depuis trop longtemps.

Bon week-end à tous, je retourne travailler l'uro-néphro.

Recette: Kongnamul guk

Je vous livre aujourd'hui une recette que j'aime beaucoup, qui est parfaite pour le froid qu'on a en ce moment, et que j'ai faite trois soirs de suite pour le souper: Kongnamul Guk.

Qu'une chose soit claire: je ne parle pas coréen, et les seuls mots que je connais de coréen ont un rapport avec la nourriture. Il s'agit d'une soupe épicée (comme la plupart des soupes coréennes) avec comme ingrédient star: les pousses de soja. Kongnamul en coréen veut dire pousses de soja et Guk veut dire soupe (par déduction hein) c'est tout bête. Kongnamul désigne aussi la préparation des pousses de soja en tant que petit sidedish ou accompagnement (vous savez, ces toutes petites assiettes qu'on vous sert au resto coréen tout le temps).

Enfin bref, passons à la recette.

Kongnamul Guk. Photo Credit: Mixk.

Review: Rubirosa, NYC

Bonjour/Bonsoir les gens!

Comme pour beaucoup de monde, c'est la rentrée cette semaine et bilan des courses? J'ai assisté à deux heures de cours total en amphi. C'est insupportable, je ne suis vraiment pas habitué à aller en amphi. C'est dur le retour à la réalité. 

Je fais les choses à l'envers aujourd'hui, je vous livre ici la critique du dernier restaurant que j'ai pu tester à New York avant mon départ. Après presque une semaine à me remettre du jet lag (un travail en cours encore, je n'ai toujours pas repris un cycle de sommeil tout à fait normal), je me suis dit qu'il était temps de me remettre dans le bain.

Ce post est dédié à Caroline, que j'ai mentionnée plusieurs fois sur ce blog. Elle a été le point-clé dans tout ce qui a rendu cet été inoubliable. Je posterais bien une photo d'elle et de son charmant mari Jean-Michel, mais sans leur accord, vous n'aurez rien. (C'était une photo de la soirée à Rubirosa que j'ai prise en souvenir.)

Bon, venons-en aux faits: Rubirosa. Un restaurant italien qui se trouve dans NoLiTa, un quartier bien sympathique, que m'a suggéré ma cousine Megan (vous savez, celle qui m'a emmené manger à Soba Totto!) après lui avoir demandé en urgence des idées de resto pour ma dernière soirée à NYC. Elle m'en a donné pleins, d'idées, toute une liste. Et parmi les restaurants, elle m'avait conseillé des restaurants de Jean-Georges qui, je la cite "ne sont pas si chers que ça". Bien sûr, Megan. Je ne suis pas pauvre, mais je ne suis pas riche non plus (pas assez pour pouvoir dépenser 100$ voire plus pour un repas sans avoir un petit pincement au coeur).